Gayle Porter et Linda Burkhart, très présentes dans toutes les conférences internationales d’Isaac depuis des années, font ici un plaidoyer pour l’apprentissage de pictos plutôt que l’utilisation de photos. Ces dernières paraissent sans doute plus faciles à utiliser de prime abord, et à reconnaitre, mais entre les troubles neuro visuels, la difficulté à généraliser, l’impossibilité de représenter les mots abstraits du vocabulaire de base pourtant si important pour une communication fonctionnelle, leur texte est une mise en garde : ne cédez pas à cette facilité.
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